lundi 26 août 2013

Anachronisme professionnel

La semaine dernière, il y avait un emploi d'été à l'étage, ce garçon avait 19 ans.

Nous lui demandons de passer un dossier marché par fax à l'un de nos fournisseurs. Le fax est "intégré" dans les grosses photocopieuses mises à notre disposition.

Après avoir photocopié toutes les pages (les dossiers marchés ont ce qu'on appelle une reliure notariale et ne peuvent être dé-reliés), il passe le document dans la machine.

Il le fait 1 fois, 2 fois et à la troisième fois, on lui demande pourquoi il recommence. Sa réponse nous a malheureusement pour lui fait beaucoup rire :

"La machine me rend mes feuilles,
ça veut dire que cela n'est pas passé."

Le destinataire a reçu le dossier 3 fois, dossier d'environ 250 pages...

Heureusement que nous n'avons plus de télex...

dimanche 18 août 2013

Poly, une rencontre qui m'a beaucoup marquée...

Poly était une série que j'adorais lorsque j'étais tout petit. J'ai eu la chance de voir de prêt et même de caresser Poly au zoo de Thoiry, il était déjà à la retraite à cette époque là.
C'est la première star que je rencontrais, j'avais 7 ou 8 ans.

mardi 13 août 2013

La Vallée des Singes

Atèle à face rouge

Gibbon à favoris blancs 
Colobe 
 Mandrill 
Capucin à épaules blanches
 
Chimpanzés
 
Tamarin lion à tête dorée
 Gibbon à favoris blancs
 
Tamarin empereur

Singe Laineux

vendredi 2 août 2013

jeudi 1 août 2013

L'humanité, un concept perdu par les humains et récupéré par les animaux...

L'incroyable pardon de l'animal face à la cruauté de l'Homme !
 
Cette photo incroyable marque la fin de la carrière du Matador Torero Alvaro Munera. Il s'est effondré dans les remords à la mi-combat, quand il s'est rendu compte qu'il était en train d'abattre cette bête douce. (Le regard sur le visage de ce taureau en dit long. Même grièvement blessé par les picadors, il n'a pas attaqué cet homme.)

Le torero est depuis devenu un fervent adversaire des corridas.

Torrero Munera a dit :

"...Et tout à coup, j'ai regardé le taureau. Il avait cette innocence que tous les animaux ont dans les yeux, et il me regarda avec cette plainte. C'était comme un cri pour la justice, au plus profond de moi. Je décris cela comme une prière car si l'on avoue, je l'espère, on est pardonné. Je me sentais comme la pire merde sur la terre. "