vendredi 30 janvier 2015

Vigipirate Ligne 14

Vu sur la ligne 14 aujourd'hui à 16 h 30...
Entre Bibliothèque François Mitterrand et Gare de Lyon
 
C'est à la fois très angoissant et finalement très rassurant. Ils sont armés jusqu'au dents...

Ceci dit, c'est la première fois que je les vois sur cette ligne automatique depuis les attentats...

Euh, quelqu'un pourrait dire aux chefs des armées quel leur béret est, à mon avis, très ridicule... Mais en même temps, ce n'est pas un défilé Dior...

Il neige... Je régresse

Alléluia !!! Il neige sur Paris !!!
 Et quand il neige, j'ai 4 ans !!!

Paris - 31 janvier 2015 - 11 h 55

mercredi 28 janvier 2015

C'est l'histoire d'une reine qui a des couilles et d'un roi trouillard...

Voici une anecdote comme je les aime...
En 1998, le roi Abdallah est reçu par la reine dans son domaine de Balmoral en Ecosse. Elle lui propose le tour de sa propriété. Hésitant et sous la pression, il finit par accepter l'invitation.

De gros 4X4 sont garés devant le palais. Abdallah s'installe dans le véhicule de tête, sur le fauteuil passager. 

Soudain, le cours normal des choses bascule : à la surprise générale des moustachus testosteronés Saoudiens - "Oh, I'm shocking... And I'm ridiculous..." - THE QUEEN s'installe, oh mon dieu, au volant, et met le contact... Vroum vroum !!!

Pour mémoire et pour les défaillants, les femmes n'ont pas droit de grand chose et surtout pas le droit de conduire au pays de l'or noir... 

Abdallah n'est pas disposé à être mené par une femme, surtout dans un engin mécanique typiquement masculin.

Elisabeth II, grande féministe, a trouvé ainsi une manière très subtile de faire passer un message !
"Oui monsieur le petit roi :
"Les femmes savent conduire"...
Elle ne sont pas que des femmes de ménage..."

Qui d'autre qu'Elisabeth la deuxième pouvait se permettre un tel écart de conduite ? Une femme saoudienne aurait fini au mieux flagellée, au pire décapitée sur une place publique...

Le comble de l'humiliation royale, Elisabeth II est douée derrière un volant, ce qui ne doit pas être forcément le cas du Roi des machos (surement habitué à se faire conduire par quelques esclaves...).

Il faut se rappeler qu'à la fin de la Seconde guerre mondiale (oui, elle n'est plus toute jeune notre internationale Queen...), elle a été formée à la conduite de camions et autres ambulance.
C'est donc, avec une conduite sportive et nerveuse qu'Elisabeth II, tout en discutant le bout de gras, a emmené son invité sur les petites routes écossaises de Balmoral.

Le macho roi du pétrole Abdallah, pétrifié, demanda à son interprète d'implorer la Reine de lever le pied et de se concentrer sur sa conduite... Comme si une femme ne pouvait pas faire deux choses à la fois...
C'est la reine, merde !!!
THE QUEEN !!!

Voilà ce qu'on appelle une bonne leçon de féminisme accordée à un tyran macho, misogyne et coincé dans des idéaux testiculaires...

Ne serait-ce pas ce qu'on appelle une Reine qui a des couilles !?!?!?
Bravo votre majesté !!!
God (sans e) save the queen !!!

samedi 24 janvier 2015

Place de la République : Place de la Liberté d'Expression...

13 jours après la manifestation "Nous sommes Charlie" du 11 janvier derniver, la Place de la République est toujours un point de ralliement particulier, un lieu où les gens viennent se retrouver, se recueillir, allumer des bougies, déposer des fleurs ou des petits mots.
Cette magnifique place est devenu un endroit étrangement beau et troublant...
J'oserais bien un :
"C'est notre Ground Zéro à nous..."
Mais j'ai peur que ce soit une fois de plus mal pris et/ou mal compris...

Les caramels fous !!! A voir, absolument à voir et revoir...

Jeudi soir, c'était la première fois que j'assistais à une représentation des Caramels fous... J'ai déjà écris un article en février 2013 sur cette troupe gay née au début des années 80... Cliquez ici

C'était donc la première de :
"Il était une fois complètement à l'ouest..."
Au théâtre Dejazet, 41, Boulevard du Temple. 75003 Paris - Métro : République du 22 janvier au 14 février 2015, le jeudi, vendredi et samedi.

Comment dire ? (sans être vulgaire...)
 "C'est à se pisser dessus !!!"

Une comédie musicale à la hauteur de la réputation de cette troupe d'amateurs fondamentale dans notre communauté.
  • Tous les textes des chansons sont réécrits et chanté en live...
  • Les chorégraphies sont drôles mêlant follitude et testostérone...
  • L'histoire est drôle et pleine de rebondissements... (Il a fallut que je me fasse confirmer par l'un(e) des artistes qu'elle jouait bien le rôle d'un fantôme... On ne le découvre que dans les 5 dernières minutes...)
  • Euh, que des mecs... 22... D'où la testostérone...
Bref, les Caramels fous, c'est sans modération et ça ne fait pas grossir... Si vous avez une petite baisse de moral, allez les voir et ça repart...
Petit mot à mon Franck et à son mari, Thierry :
"Vous êtes bonnes !!!"
"Cher Caramels,
merci pour ce délicieux moment.
Cela fait du bien... VOUS faites du bien !!!
Je n'ai qu'un regret :
ne pas être allé vous voir plus tôt...
Quelle idiote..."

  • Et pour ceux qui auraient encore des doutes, voici la bande annonce :


  • Le lien vers le reportage de FranceTVInfo. Cliquez ici
  • L'article du Parisien du 26 janvier 2015

 
 

Le Don Camillo : Un piège à touristes !!!

Je ne suis pas fan de dire des choses négatives sur des lieux de fête mais là, c'est franchement mauvais.

Jeudi après-midi, avait lieu le déjeuner du service et l'une de nos assistantes a proposé d'aller au Don Camillo, 10 rue des Saint Pères, dans le 7ème arrondissement de Paris.

Avant d'y aller, je voulais savoir où j'allais et voici ce que j'ai pu trouver (Google étant mon ami) :

"Depuis plus de 50 ans, le Don Camilo
est le temple de l'humour et de la gastronomie"
"Dans tous les cas, la gastronomie était et sera toujours au programme. Notre chef, Michel Charon, sait bien qu'il n'est pas de véritable fête sans une table de qualité." 

Donc, à la lecture de cette présentation, l'après-midi va être sympa, nous allons rire et surtout nous allons bien manger...

Arrivée à 12 h 00 par le Métro Saint Germain - Ligne 4.

La salle est petite, environ 100 m², recouverte de mosaïque de verre et déjà très très... très pleine.  Renseignements pris auprès des personnes présentes, il s'avère que c'est un groupe de 180 ch'tis retraités du Crédit Agricole en goguette à Paris. Nous étions les 19 uniques "parisiens" de la salle. Je vous laisse imaginer ce que nous avons pu entendre... 
Tout ce monde dans une si petite salle crée un bruit absolument infernal. Impossible de nous parler normalement et je sens immédiatement le mal de tête frapper à la porte de la salle... Hum, super... Nous sommes les uns sur les autres. Bref, des conditions épouvantables...
  • Apéro : un kir prétendu royal... Mouais... 
Premier numéro : Une voix off nous annonce une chanteuse qui "ferait fondre n'importe quel glacier". J'imagine déjà une très jolie petite chanteuse ou un travelo sublime...

Que nenni. Arrive sur scène une dame d'un âge certain, blonde, qui s'amuse avec ses cheveux - un coup à gauche, un coup à droite et au passage, vue plongeante sur les racines blanches... J'ai cherché du regard un déambulateur, mais non, elle se déplace bien toute seule... Elle ouvre la bouche et là, une incroyable vulgarité émane de ses propos. Elle doit regarder NRJ12, ce n'est pas possible autrement. Commence son tour de chant... Comment dire ??? Vous voyez Cindy Sanders lors des auditions de la Nouvelle Star en 2008... La même chose en pire et en beaucoup plus vieille...

Elle fait venir des gens sur scène dont l'un de mes jeunes collègues, 19 ans... Je suis sûr qu'elle l'a tout de suite repéré... Ça ne doit pas lui arriver tous les jours... Au bout de 30 minutes, cela s'arrête enfin... Ouf...
  • L'entrée. J'avais choisi un saumon fumé...
Lorsque je regarde l'assiette, une chose me vient tout de suite à l'esprit :
"Tiens, ça vient de chez Ed..."

Vous remarquerez le carré de beurre... La cantine du bureau fait mieux... Les toasts sont froids et secs... Ça commence bien...

Deuxième numéro : Un "standupeur" d'un certain âge... avec les vannes de la même époque... Tout y passe : Sarko, les islamistes, les caricatures, les gays... Bref, rien de bien neuf... No comment...

J'en profite pour goûter le vin : Le blanc est immonde... Le rouge est presque potable... Mais voyant ce que va être l'après-midi, je m'en contente donc...
  • Le plat. Étant un peu au régime, j'avais choisi un saumon, sauce champagne...
Alors, que dire ? Le saumon est sec, l'accompagnement (probablement issue de l'agro-alimentaire congelé) est froid et la sauce... je cherche toujours le champagne... No comment. Deux fois...

Troisième numéro : Un "aristocrate", folle, d'un certain âge lui aussi. Il est plutôt bon car son travail de diction et de jeux de mots est efficace... On progresse... 

Malheureusement, c'est à ce moment-là que ma vessie me rappelle à l'ordre et lorsque l'on se retrouve au milieu de 180 retraités, il vaut mieux s'y prendre en avance... Je loupe donc une bonne moitié de la prestation... Dommage...
  • Le fromage : Je pense que mon morceau a été coupé à la hache... Je crois que j'avais la moitié de ce que j'identifie être du brie... Bon... Mangeable...
Dernier numéro : "Enfin" me dis-je... En fait, c'était le meilleur malgré l'âge avancé du monsieur... La vie quotidienne décryptée au travers de vannes plutôt bonnes. C'est là que j'ai le plus ri, peut-être était-ce dû au vin en fait...

Le dessert : Je crois que c'est une tranche d'omelette norvégienne mais je n'en suis absolument pas sûr... 

Je prends une lichette de champagne... Le prosecco italien - le truc qui fait mal à la tête dès que vous voyez la bouteille - est meilleur, c'est dire...

Le café arrive et je me dis : "Le café est bon..." Le seul élément réussi du menu...

Bref, tout ça pour dire que le Don Camillo est un piège à touristes, que sa réputation est surfaite, ne correspond pas à la réalité. J'adore le kitsch mais là, c'est juste ringard. Les artistes ont l'âge de leur humour : 19ème siècle... Dommage.

Ah oui, j'allais oublier : Le prix du menu "Rires" : 66 €. Je ne sais de quoi il faut rire, des artistes ou du menu...

Je vous le déconseille vivement... Sauf si vous aimez manger moins bien qu'à la cantine et que vous aimez l'humour du XIXème siècle avec un soupçon de vulgarité...

A oublier et vite !!!

mercredi 21 janvier 2015

A lire, re-lire et re-re-lire

A tous,

Je suis tombé par hasard (via Ben Pasquestion) sur ce texte de Sknob qui "tombe" bien en ce moment. Ca fait du bien de lire ça.
 "Ceci n'est pas un juif "
http://babordages.fr/ceci-nest-pas-un-juif/#comment-30546
Cliquez sur l'image, vous comprendrez pourquoi cet Ornithorynque...


Merci Sknob...

mardi 20 janvier 2015

Sénèque : A méditer et de circonstance

"La religion est considérée :
par les gens ordinaires comme vraie ;
par les sages comme fausse ;
par les dirigeants comme utile."
Sénèque
-4 avant l'Homme mort - +65 après l'Homme mort


Patience, patience... Jouissive patience !!!

Alléluia, je l'ai enfin !!!
Trois kiosques tous les jours sur le trajet du bureau pendant 6 jours... Il faut en vouloir quand même...

Et à ce moment précis, je savoure le plaisir de la patience... Tout, tout de suite, dénature ces moments. Et en plus, je ne le lirai que ce soir... C'est dire...

Patience aussi messieurs les détraqués, nous viendrons à bout de votre folie meurtrière... L'histoire nous montre que votre folie a toujours éradiquée pour laisser place aux Hommes, aux vrais, avec un grand H, pas aux lâches idiots...


Caricature tristement prémonitoire...

Caricature prémonitoire en 2ème page
du hors-série n°20 de Charlie Hebdo
Mai 2006...

lundi 19 janvier 2015

Le dernier voyage en taxi

Un chauffeur de taxi new-yorkais raconte : 

Je suis arrivé à l’adresse et j’ai klaxonné. Après avoir attendu quelques minutes, je klaxonne à nouveau. Comme il s’agissait de ma dernière course de la journée, je pensais partir, mais finalement je me suis stationné et puis je me suis dirigé vers la porte et j’ai toqué.

«Juste une minute», a répondu une voix de personne âgée. Je pouvais entendre quelque chose qui traînait sur le plancher.

Après une longue pause, la porte s’ouvrit. Une petite femme de 90 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau à voilette, ressemblant à un personnage de film des années 1940.

À côté d’elle il y avait une petite valise en nylon. L’appartement semblait comme si personne n’avait vécu dedans depuis des années. Tout le mobilier était recouvert de draps.

Il n’y avait pas d’horloge sur les murs, pas de bibelot ni aucun ustensile sur les comptoirs. Dans un coin il y avait une boîte en carton remplie de photos et de verrerie.

«Pourriez-vous porter mon bagage jusqu’à la voiture?» dit-elle. J’ai porté la valise jusqu’à mon véhicule, puis suis retourné aider la femme.

Elle prit mon bras et nous avons marché lentement vers le bord du trottoir.

Elle n’arrêtait pas de me remercier pour ma gentillesse. «Ce n’est rien», je lui ai dit «J’essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que ma mère soit traitée.»

«Oh, tu es un bon garçon», dit-elle. Quand nous sommes arrivés dans la voiture, elle m’a donné une adresse, puis demanda: «Pouvez-vous passer par le centre-ville?»,

«Ce n’est pas le plus court chemin», répondis-je.

«Oh, cela ne me dérange pas», dit-elle. «Je ne suis pas pressé. Je me rends au centre de soins palliatifs.»

J’ai regardé dans le rétroviseur. Ses yeux scintillaient. «Je n’ai pas de famille» reprit-elle d’une voix douce. «Le docteur dit que je n’en ai plus pour très longtemps.» J’ai discrètement arrêté le compteur.

«Quelle route voudriez-vous que je prenne?» Demandai-je.

Pendant les deux heures qui ont suivi, nous avons roulé à travers la ville. Elle m’a montré le bâtiment où elle avait travaillé comme opérateur d’ascenseur.

Nous avons traversé le quartier où elle et son mari avaient vécu quand ils étaient jeunes mariés. Elle m’a fait arrêter devant d’un entrepôt de meubles qui était à l’époque une salle de bal où elle était allée danser lorsqu’elle était jeune fille.

Parfois, elle me demandait de ralentir en face d’un bâtiment particulier ou dans un coin et s’asseyait le regard perdu dans l’obscurité, sans rien dire.

Lorsque le soleil commença à rejoindre l’horizon, elle dit soudain: «Je suis fatiguée j’aimerai que nous y allions maintenant».

Nous avons roulé en silence à l’adresse qu’elle m’avait donnée. C’était un petit édifice, comme une petite maison de convalescence, avec un portique pour rentrer dans une allée.

Deux infirmiers sont sortis et se sont dirigés vers le taxi. Ils étaient très attentionnés et surveillaient tous les mouvements de la vieille dame. Visiblement ils attendaient son arrivée.

J’ai ouvert le coffre et porté la petite valise jusqu’à la porte. La femme était déjà assise dans un fauteuil roulant.

«Combien vous dois-je?» M’a-t-elle demandé, en ouvrant son sac.

«Rien» lui dis-je.

«Vous devez gagner votre vie», répondit-elle.

«Il y aura d’autres passagers,» ai-je répondu.

Presque sans y penser, je me suis penché et lui ai donné une accolade. Elle me serra fort.

«Vous avez donné un petit moment de joie à une vieille dame», dit-elle. «Je vous remercie.»

Je lui serrai la main, et me retournai. Derrière moi, une porte a claqué, c’était le bruit d’une vie qui se termine.

Je n’ai pris aucun passager le reste de ma course. J’ai conduit sans but perdu dans mes pensées.

Je n’ai pratiquement pas parlé le reste de la soirée. Que se serait-il passé si cette femme avait eu à faire à un chauffeur en colère, ou à quelqu’un d’impatient et pressé ? Et si j’avais refusé de prendre la course, ou avais klaxonné plusieurs fois, puis parti sans attendre ?

Après réflexion, je ne pense pas avoir fait quelque chose de plus important dans ma vie.

Nous sommes conditionnés à penser que nos vies tournent autour de grands moments. Mais les grands moments sont souvent des jolis petits instants auxquels nous ne prêtons pas assez attention.»

Auteur inconnu

mardi 13 janvier 2015

Catherine et Liliane : Toujours dans la vérité...

"Il y en a qui sont quand même émotionnellement
monté à l'envers.
Après ce qui s'est passé,
l'ensemble du pays est mort de peine
et une poignée pense encore à la peine de mort...
Mort de peine... Peine de mort...
Mort de peine... Peine de mort...
C'est curieux..."
 Catherine et Liliane - 12 janvier 2015

La nouvelle coupe de Catherine - Catherine et Liliane du 12/01

lundi 12 janvier 2015

Zérothéisme : C'est l'avenir

Merci Pierre...

Le jour d'après... 12 janvier 2015

La Place de la République est probablement ma place préférée et encore plus depuis qu'elle a été entièrement refaite et après ce qui s'est passé hier.
 
Après la manifestation colossale d'hier, je suis passé ce matin et voici quelques photos de ce qui "reste". Je crois que la Mairie de Paris aura du mal à retirer les stigmates du 11 janvier, la symbolique étant probablement trop belle pour être "jetée" à la poubelle.
 
Je vais en profiter pour reprendre certaines explications de Wikipédia (car Wikipedia est mon ami) afin d'expliquer aux non parisiens qui ne connaissent pas bien l'endroit, les symboles présents sur cette magnifique Place de la République.
 

Le Monument à la République, dit aussi Statue de la République
est un ensemble statuaire monumental,
œuvre de Léopold Morice. Inaugurée en 1883,
elle représente une allégorie de la République.
20 juin 1789
Serment du Jeu de Paume
14 juillet 1789
Prise de la Bastille
4 août 1789
Abolition du régime féodal
et des privilèges
14 juillet 1790
Fête nationale de la Fédération
11 juillet 1792
L'Assemblée proclame
"La Patrie en danger"
20 septembre 1792
Bataille de Valmy

21 septembre 1792
Première séance de la
Convention et abolition de la royauté

13 prairal an 2
16 mai 1794

29 juillet 1830
Les "Trois Glorieuses"

4 mars 1848
Proclamation de l'abolition
de l'esclavage

4 septembre 1870
Proclamation de la République

14 juillet 1880
Première fête nationale
La Liberté
est assise à la gauche de La République. Elle porte un flambeau dans la main gauche, tandis que sa main droite est posée sur son genou, tenant une chaîne brisée. En arrière-plan, un chêne est sculpté en relief dans la colonne.
L'Egalité
tient dans sa  main droite le drapeau de la République, dont la hampe est marquée des initiales « R.F. », et dans la gauche un niveau de charpentier, symbole d'égalité.
La Fraternité
est un groupe statuaire, orienté dans la direction opposée à la République. La Fraternité est représentée par une femme posant son regard bienveillant sur deux enfants en train de lire un livre. une gerbe de blé et un bouquet évoquent l'abondance.
Bizarrement, les journalistes sont toujours là, eux qui partent dès qu'une actu en chasse une autre...