mardi 31 mai 2016

Ca y est... J'ai franchi le pas... plutôt la roue...

Voilà, c'est fait, j'ai acheté un gyropode...
Caractéristiques de la bête (d'ailleurs, il faut que je lui trouve un nom) :
  • 9 kilos (un pack d'eau) ;
  • roule à 20 km/h (peut monter à 22 mais bipe dès qu'on dépasse une certaine vitesse) ;
  • se recharge en  2 heures ;
  • autonomie de 20 kilomètres (ce qui, à Paris, est largement suffisant).

Petit bilan de l'apprentissage :

1/4 d'heure samedi matin :
  • Impossible de faire 2 mètres sans tomber...
  • Impossible de démarrer sans me tenir à un mur ou un poteau...
  • Freinage plus qu'incertains voire périlleux...

1/4 d'heure samedi après-midi :
  • Toujours impossible de démarrer sans me tenir à un mur ou un poteau...
  • 1ère grande ligne droite (150 m) sans tomber mais pas forcément très droit...
  • Début de freinage efficace mais près d'un mur ou d'un poteau...
 1/4 d'heure dimanche matin :
  • Début de démarrage sans me tenir - 1 fois sur 2...
  • Grande distance et virage assuré (300 m) sans tomber...
  • Le freinage s'améliore...
1/4 d'heure dimanche après-midi :
  • Démarrage sans me tenir acquis...
  • Grande distance et virage acquis à 80 %...
  • Franchissement de passage piétons et de trottoirs : acquis...
  • Freinage simple acquis...
  • Freinage d'urgence à perfectionner...
  • Obstacle imprévu (un enfant qui surgit) à contrôler.

Bref après 1 heure en 4 fois (il ne faut pas faire plus, le corps et le cerveau doivent assimiler ces nouveaux paramètres d'équilibre), je suis capable de faire le tour de l'église près de chez moi sans tomber, en tournant correctement et en freinant doucement... Mais pour l'instant, pas question de me retrouver au milieu de la foule des trottoirs.

La sensation est géniale, la vitesse (20 km/h) est largement suffisante. Un petit problème existe : les tibias morflent et j'ai une ampoule sur la cheville. Cela disparaîtra quand j'aurais acquis suffisamment d'expériences et que je serais plus détendu...

Ma grande angoisse en fait réside dans "l'autre" et en particulier les piétons qui ont les yeux rivés sur leur portable. Il faut beaucoup anticiper mais anticiper l'impossible et surtout l'inconscience de certains piétons va relever de l'exploit...

Objectif : Aller au bureau en août avec... 7,5 km, c'est faisable en 35 minutes (arrêts, feu rouge et circulation comprises).

lundi 30 mai 2016

Une de mes plus importantes références...

Le 29 mai 1982, l'une des plus grandes actrices françaises disparaissait à l'âge de 43 ans :
Romy Schneider
 
23 septembre 1938 - Vienne
29 mai 1982 - Paris.
Romy Schneider m'a profondément marqué avec trois de ses films : 
"La passante du Sans Souci"
Cette photo est la plus troublante de toutes... Ce film a été tourné peu de temps après la mort accidentelle de son fils David (et nous connaissons tous l'attitude ignoble des journalistes à son égard).
Ce film, je ne l'ai su que beaucoup plus tard, était une manière pour elle d'exorciser le passé trouble de sa mère, Magda Schneider, qui avait fréquenté de très près le plus grand criminel de tous les temps : Adolf Hitler. Romy l'avait également rencontré puisqu'elle jouait, petite, avec les enfants de Borman.

"Le vieux fusil"

Et bien sûr, l'incomparable, l'inimitable et probablement l'origine de mon goût pour les robes à crinoline :
"Sissi impératrice"

Madame, vous étiez sublime, vous êtes sublime et vous resterez sublime.

Depuis ce jour de 1982, je m'en souviens parfaitement, vous me manquez terriblement.

Merci !!!